revue de presse des articles débiles du ouest france :
La chatte vient de Chine dans la vaisselle
Le carton, contenant de la vaisselle, arrivait de Chine. Mais quand les employés de l'entreprise britannique à laquelle il était destiné, l'ont ouvert, ils ont eu la surprise d'y trouver une petite chatte blanche. Explication : dans l'usine chinoise, le félin s'était glissé dans un conteneur à destination du Royaume-Uni. Soit une traversée de 10 000 km en 26 jours. Selon le vétérinaire qui l'a examinée, la chatte aurait survécu en mangeant du carton et en lapant la condensation. Aux dernières nouvelles, les autorités britanniques n'envisageraient pas de renvoyer la passagère clandestine en Chine.
Les huit ados « les plus chanceux du monde »
« Ce sont les gamins les plus chanceux du monde. » C'est ainsi qu'un pompier a qualifié les rescapés d'un spectaculaire accident de la route survenu dans la banlieue de Los Angeles, aux États-Unis. Dans la nuit de jeudi à vendredi, une Nissan dans laquelle s'étaient entassés huit jeunes gens, âgés de 13 à 18 ans, a fait une chute dans un ravin. Malgré une dégringolade de près de 80 m, on ne déplore que de légères contusions. Les secouristes ont souligné que les deux adolescents qui voyageaient dans le coffre de la voiture l'avaient particulièrement échappé belle.
L'oeuf a précédé la poule, of course !
Finis les débats interminables et passionnels. Un scientifique britannique vient de résoudre l'énigme millénaire sur l'origine de l'oeuf (et de la poule !). Pas de doute, pour John Brookfield, professeur à l'université de Nottingham : « L'oeuf était nécessairement avant la poule ». Pourquoi ? Parce que le patrimoine génétique (l'ADN) n'évolue pas durant la vie d'un organisme vivant. Donc, la poule n'a pas pu se mettre, un beau jour, à pondre. Elle a d'abord dû exister en tant qu'embryon, dans un oeuf. Élémentaire, mon cher Brookfield ? L'argumentation a convaincu la fédération britannique des éleveurs de poulets. Mais elle n'a pas encore été validée au niveau international...
Un pied sur le volant, un pied au plancher
Il y en a qui conduisent comme des pieds, avec leurs deux mains. D'autres qui conduisent bien... sans les mains. C'était le cas de ce Néo-Zélandais manchot de 31 ans, avant de se faire arrêter pour excès de vitesse, dernièrement, près d'Auckland. L'attention des policiers a été éveillée par le siège du conducteur, anormalement incliné, et les pieds de l'automobiliste, reposant sur le tableau de bord. A un officier médusé, le jeune homme a expliqué qu'il pilotait sa voiture sans problème et sans permis depuis des années, en utilisant une jambe pour tourner le volant et l'autre pour gérer les pédales.